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Les courses de chevaux, un événement à part entière

Engager les paris et former les équipes

Rien de plus simple et de plus original que d’associer le spectacle grandiose d’une course de chevaux à un événement d’entreprise. Rien de tel pour former une équipe en engageant les paris. Mais avant cela quelques révisions s’imposent :

Le trot est la seule course où le cavalier n'est pas sur le cheval

Quelle course de chevaux pour quel évènement ?

Le trot attelé : le driver est assis sur un sulky tracté par le cheval.

Le cheval doit trotter le plus vite possible pour atteindre le premier la ligne d’arrivée, mais il ne doit en aucun cas se mettre au galop, sous peine de disqualification. Le départ se prend de deux manières : soit derrière l’autostart, soit en faisant une volte.

Les épreuves de trot attelé les plus prestigieuses sont classées en Groupes I, II et III.  Il existe beaucoup d’autres courses, mais leur niveau ne leur permet pas d’avoir le statut de course de Groupe. Ce statut est revu chaque année, et certaines courses, de temps à autre, gagnent ou perdent un rang dans la hiérarchie.

Le trot monté ?

Le trot monté est peu répandu. Dans ce type d’épreuve, le jockey est assis directement sur le cheval sellé. Si le cheval se met au galop, il est disqualifié. Les temps réalisés au trot monté sont moins bons que ceux du trot attelé.

Les épreuves de galop ?

Le principe de la course de plat (ou galop) est, a première vue, très simple : partir au galop, et franchir le poteau d’arrivée le premier.

Les distances de course sont variables, de 900 à 4 000 mètres mais le plus souvent comprises entre 1 600 et 2 400 mètres, le mile anglais étant la référence historique, avec ses 1 609 mètres.

Les chevaux prennent le départ dans des stalles, c’est-à-dire des boîtes dans lesquelles ils rentrent et qui s’ouvrent automatiquement lorsque le départ est donné.

Cependant, pour obtenir une course disputée, il faut que tous les concurrents puissent s’exprimer, même si leur potentiel est moindre. C’est le principe du handicap : avant la course, le handicapeur attribue à chaque cheval un certain poids qu’il va devoir porter tout au long de la course.

Les poids sont répartis en fonction des résultats des chevaux, et varient entre 50 et 62 kg en France. Ainsi, le cheval vainqueur d’une course recevra une charge supplémentaire pour la course suivante. Au contraire, un cheval faisant une piètre course se verra retirer du poids pour la suivante. L’objectif est donc d’obtenir la course la plus serrée possible.