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Thierry Mestrallet, dirigeant de Tedd Connexion

Son meilleur souvenir ? Un déjeuner chez Régis Marcon. Mais Thierry Mestrallet affectionne également des restaurants simples en apparence, mais à la cuisine assez sophistiquée, à l’instar d' »Une autre histoire », de « l’Ourson qui boit » ou le nouveau repaire gourmand de Taka Takano.

 Sous le feu des projecteurs en cette fin d’année, Thierry Mestrallet vient d’inaugurer au cœur du sixième arrondissement un show-room image et son « in wall » inédit dans la région, en partenariat avec les marques Bose, Devialet et Waterfall.

 Un concentré de technologie qui permet au spécialiste de l’intégration (plus de 2 millions d’euros de chiffres d’affaires l’an dernier) de présenter les dernières innovations en matière d’image, d’acoustique et de domotique, qu’il s’agisse de vidéoprojection, d’écran transonore, de système d’amplification ou d’enceintes en verre.

« C’est la salle de XXIe siècle, un concept tout-en-un et clés en main que l’on peut reproduire chez soi moyennant un budget de l’ordre de 20 000 à 25 000 euros« , explique Thierry Mestrallet.

 Institution lyonnaise dans l’univers de la high tech, premier Bose Excellence Center de Lyon, Tedd Connexion a développé son expertise auprès des entreprises rhônalpines.

 Pour présenter ses nouvelles solutions d’intégration corporate, Thierry Mestrallet donne souvent rendez-vous dans le quartier, au Genève, juste en face de son magasin, pour déguster le plat du jour d’Alain Barge, même s’il apprécie aussi les spécialités arméniennes d’Oncle Dick, le couscous du Bossuet et les poissons de la Barque Bleue.

 « Je pense avoir testé toutes les grandes tables de la région lyonnaise à l’exception du nouveau restaurant de Christian Têtedoie, à l’Antiquaille, dont je prévois de découvrir la terrasse dès les premiers beaux jours. J’envisage de rendre aussi une visite prochaine à Anne-Sophie Pic dans la Drôme« , confie cet épicurien, toujours prêt à prendre la route pour une escapade gastronomique.

 « Mon meilleur souvenir ? Un déjeuner chez Régis Marcon »

« Mon meilleur souvenir ? Sans hésiter un déjeuner chez Régis Marcon, en Haute-Loire. Le menu découverte, à base de champignons, était une pure merveille. On est resté quatre heures à table…. De l’accueil à la cuisine, tout était parfait ! ».

A Lyon, Thierry Mestrallet fait aussi l’éloge de quelques restaurants « simples en apparence, mais à la cuisine assez sophistiquée », à l’instar d’Une autre histoire (rue Cuvier, 69006), de l’Ourson qui boit (rue Royale, 69001) ou de Taka Takano, le nouveau repaire gourmand du jeune chef japonais, ancien protégé de Nicolas Le Bec, désormais aux fourneaux rue Malesherbes, dans le sixième arrondissement, à quelques jets de cuillères du show-room de Tedd Connexion…