La Confluence côté bureaux

Sur plus de 150 hectares, la Confluence accueille aussi bien des logements que des bureaux et encore des commerces. Une mixité déjà de mise sur la première tranche tandis que la seconde qui verra ses premières livraisons se concrétiser l’an prochain, ne faillira pas à cette règle.

De fait, le quartier trouve peu à peu un positionnement recherché par les utilisateurs de bureaux. De grands groupes y ont élu domicile depuis plusieurs années déjà à l’image du Progrès, du Groupe Cardinal, de GL Events ou d’Euronews sur le point d’investir son immeuble situé sur les bords de Saône.

La Confluence : un laboratoire immobilier

Autant de grands noms qui ont joué un rôle de locomotive pour attirer bon nombre d’entreprise vers cette pointe de terre où les immeubles rivalisent d’audace architecturale et technologique. Premier quartier durable WWF, Lyon Confluence s’engage à ne pas émettre davantage de gaz à effet de serre supplémentaires en 2020 qu’en 2000, alors que les surfaces construites auront doublé.

Et le nombre d’utilisateurs de bureaux comme les habitants aussi. C’est en son sein que se construisent les immeubles les plus économes en énergie de la ville et que s’installent peu à peu les équipements les plus innovants sur le plan des smart grids.

Des initiatives environnementales

Laboratoire et vitrine de la smart city, Lyon Confluence accueille de nombreuses initiatives environnementales spécialement en matière d’immobilier tertiaire. Résultat la qualité des immeubles est tirée vers le haut comme les prix qui rivalisent avec ceux de la Part Dieu.

Les tout nouveaux bâtiments en passe d’être livrés se louent aux alentours de 250 euros le mètre et il faut compter plus de 200 euros dans les immeubles modernes et 160 et 180 euros dans l’ancien.

A la vente, quelques surfaces sont disponibles sur la partie Nord de la Confluence. Il faut compter aux environ de 2500 à 3000 euros du mètre.

Un engouement marqué pour les bureaux de la confluence

Même avec des prix tirés vers le haut, le quartier attire. Les équipements sont de qualité, notamment le centre commercial, des dizaines de restaurants, sans compter des espaces culturels majeurs à l’image de la Sucrière.

Les signatures architecturales prestigieuses comme Odile Decq , Jacob & MacFarlane et bientôt Ricciotti renforcent aussi cette attractivité. De fait, ce nouveau quartier devient une alternative à la Part Dieu pour de nombreux grands utilisateurs.

Reste le point noir du quartier, la circulation. Les automobilistes ont bien du mal et le tramway est souvent saturé. De quoi faire oublier la proximité de la gare Perrache. Pour autant, cette faille n’entrave pas le développement du quartier que les utilisateurs de bureaux sont de plus en plus nombreux à choisir.