A Lyon, l’ouverture d’un centre Multiburo “nouvelle génération”

Avec vingt-cinq centres implantés dans trois pays (France, Suisse et Belgique) et 6 500 clients actifs, Multiburo est le deuxième centre d’affaires de France après Regus. A Lyon, le centre de la place Charles Béraudier s’est récemment déplacé en face de la gare Part-Dieu, dans le bâtiment du Forum. Totalement rénové, ce centre nouvelle génération propose encore plus de flexibilité et de confort à ses clients.

 « Une demande très forte de flexibilité »

“Aujourd’hui, il y a une demande très forte de flexibilité et de mobilité, car on peut travailler où l’on veut. Au-delà du fait qu’il y a de plus en plus de freelance et que les modes de travail changent, la durée de vie d’un salarié dans une entreprise est de plus en plus courte et les Millenials ont une vision du travail et de la hiérarchie très différente. Il faut donc savoir s’adapter et proposer des lieux appropriés pour les entreprises et les travailleurs indépendants”, affirme Stéphanie Auxenfans, directrice générale de Multiburo.

Sur les 25 centres du groupe, une quinzaine sont dits “nouvelle génération” et offrent donc aux clients un espace de coworking appelé Le Spot et un grand café central où ils peuvent se retrouver, en plus des bureaux privatifs et des salles de réunion.

 Ces nouveaux centres s’adaptent donc aux demandes des clients, notamment les plus jeunes qui aiment de plus en plus travailler dans des espaces de travail partagés.

Dix euros de l’heure

Ceux-ci sont néanmoins équipés de “bulles”, petites salles qui comportent trois chaises, un bureau et un écran pour les clients qui souhaitent s’isoler, passer un coup de fil, etc.

Accessibles à partir de 10 euros de l’heure, on peut les réserver à la journée pour 40 euros ou au mois pour 250 euros.

Pour ce projet lyonnais, “pas loin d’un million d’euros a été investi” selon Stéphanie Auxenfans. “Nous sommes également mûrs pour l’ouverture d’un troisième centre à Lyon. Nos taux d’occupation sont de 100%, il y a une vraie demande pour ces centres d’affaires, ces nouveaux modes de travail”, ajoute-t-elle.