Généreux par nature, mon engagement est réel.

Dans la problématique de mon client comme dans les intérêts de la société que je représente.

J’ose croire encore en la qualité comme une valeur ajoutée. Rationnel et pragmatique, mais pas psychorigide, mon organisation ne pose des jalons que pour alerter des risques. Le dépassement n’étant qu’arbitrage.

Aujourd’hui, dans le RefNat (Référencement Naturel) j’assure la gestion stratégique de contenus pour assurer une visibilité en ligne optimale à des entreprises du middle market Lyonnais.

Dans un prolongement rationnel de cette action, j’aime à privilégier le KISS (Keep It Simple) et une approche « user centric ».

#B2B #SEO #Refnat #Lyon #Entreprises

Efapien de la promotion 1988 …

Après quelques embardées en Agences de Pub (Young & Rubicam), de Relations Publiques (Burson Marsteller) de Développement d’Entreprises (Le Groupe G) parisiennes, grandes et petites, je m’éloigne pour une première vie professionnelle dans l’automobile.

Quand j’ai quitté la communication, le monde d’alors tenait dans une petite boite marron : le Minitel … J’en avait fait mon mémoire de fin d’études « Un minitel pour les communicants ». J’y voyais déjà une trésor de ressources. A mon retour en 2000, il était devenu internet.

Par passion pour les solutions techniques, j’avais gardé un oeil de loin sur cette fabuleuse évolution. J’ai eu mes modems 56K, connu les Altavista, Excite et autres Lycos, mon compte Compuserve, les balbutiements d’un certain Google …

Après 6 mois de remise à flots comme chef de projet internet, je monte ma première collaboration comme associé dans ce qui deviendra une webagency d’avant garde parce que pilotée par un vrai précurseur du web.

Editeur de, sans aucun doutes, l’une des premières market place en ligne, je propose de mettre en relation des professionnels pour faire du biz entre eux. Un second site internet de PA (petites annonces) permet à ces mêmes professionnels de vendre aux particuliers. Un troisième site génère l’actualité SEO nécessaire à faire converger le trafic vers les deux premiers. Arrivé trop tôt sur un marché pas mature marqué par la défiance de ses acteurs, c’est un flop de 3 ans qui me fera connaître l’échec de l’entrepreneur.

Une aventure en indépendant me fera rejoindre une belle équipe de journalistes lyonnais au travers de l’association Numérique +. Cette asso, présidée par un certain Dominique Largeron, a vocation à mutualiser le trafic d’une dizaine de sites internet thématiques locaux (santé, agriculture, immobilier, écologie, économie …) pour mieux le vendre aux régies. Parmi lesquels, Lyon-Entreprises.

Nous sommes en 2011, et c’est le début d’une belle aventure au service du tissus économique lyonnais.