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La vidéo, un format de contenu pas comme les autres

Si la vidéo répond à l’éventail le plus large des besoins de l’entreprise, comment, à l’heure du “full digital”, passe-t-on du stade de projet à celui de film exploitable ? Dans un domaine contraignant parce que technique, Letter to memphis  apporte un éclairage avec Simplissime, une offre innovante pensée “utilisateur entreprise”.

Des freins inhérents à un contenu avant tout technique

Communiquer, dans sa plus simple expression, se fait par l’oral ou par l’écrit. Dans les deux cas, la mise en oeuvre est naturelle, simple, rapide et n’engage que peu de moyens. Mais quand le message oblige à raconter une histoire, exprimer une opinion, donner envie ou simplement porter un message, il faut alors des talents de conteur, d’écrivain, ou … de cinéaste.    

Des écueils techniques à chaque étapes

Faire une vidéo est un travail qui oblige à passer par une succession d’étapes.

La scénarisation

Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement” disait Boileau. Essayez donc de conceptualiser et de coucher par écrit, surtout si vous travaillez à plusieurs, le contenu du message que vous souhaitez faire passer. Vous comprendrez alors le sens de cet adage et la profondeur de la mission qui vous attend !

La captation d’image

Cette phase vous réserve bien des surprises. Repérages, scènes d’extérieurs, scènes d’intérieurs, contraintes de lumières, variété des profondeurs de champ, sont autant de questions techniques qui appellent en réponse des compétences du “metteur en scène” ou du “réalisateur” longuement enseignées dans les écoles d’audiovisuel.

Le matériel vidéo

Pour ne citer que l’essentiel du monde vidéo qui n’engage que le minimum de la technique  cinématographique, on mentionne la caméra, les objectifs, les filtres, les microphones, le trépied, le mattebox, les boites à lampes, les déflecteurs et éclairages divers … ce qui dans ses variantes, représente des possibilités de choix dont les limites se fixent par le prix.

Dérushage et montage de la vidéo

Quand le disque dur sature de toutes les plans que vous avez filmées, il est alors grand temps de dérusher. C’est la sélection des meilleures prises pour les passer au banc de montage. Là encore, l’éventail des solutions de montage (numériques) est très large. Les éditeurs se partagent le marché entre des solutions gratuites simples et natives et les solutions professionnelles payantes .

La caméra ne pardonne rien

Il est prodigieux de voir comment la caméra à le don de capter toutes les imperfections et de les amplifier au point d’en effacer tout le reste. Les plans trop longs, le manque de recul par rapport au sujet, un son négligé, un éclairage approximatif… Sans parler des tics de langages, du nez qui brille, du reflet dans les lunettes… La liste est longue.

L’alternative possible : choisir entre le DIY ou le travail de pro

En réalité, il n’y a pas de demi mesure. Le Do It Yourself (bricolage, en anglais) est la solution mise à la portée de tous par l’excellence et la simplicité des outils qui inondent le marché de l’audiovisuel numérique. Oui, on peut filmer depuis son smartphone et obtenir un résultat exploitable en raccourcissant considérablement la chaîne des process.

Faire quoi ? Comment ? Pour toucher qui ?

C’est la dernière question qui va gouverner le choix des moyens qu’il vous faudra déployer pour votre mise en image. S’il s’agit de toucher votre communauté d’amis sur vos réseaux sociaux, alors le smartphone pensé et techniquement au point pour cet usage sera votre outil de prédilection. S’il s’agit de rapporter un fait, un instant “pris sur le vif”, la qualité peut être votre alliée. Mais son absence peut totalement travestir votre message.

Pour tout autre situation, en particulier si le message porte les valeurs de l’entreprise, tant sur la forme que sur le fond, vous n’aurez d’autre choix que de vous tourner vers un professionnel de l’image.

Une vidéo de pro parce que c’est votre image qui est en jeu

Les communicants ne plaisante pas avec l’image ! Les “On n’a qu’une seule fois l’occasion de faire bonne impression”, “donner une bonne image de soi” et autres études telles que la célèbre d’Albert Mehrabian qui montre que seul 7% de la communication verbale passe contre 93% de la communication non verbale ; confirment que l’image est le tout premier vecteur d’information. L’image est un puissant outil d’expression et sa gestion ne peut être hasardeuse.

Abolir les contraintes de temps et de sujets  

L’offre « simplissime » est une proposition innovante dans le métier de la production audiovisuelle. Le “crédit temps” défini est consommé en une fois et donne lieu à une multiplicité de prises de vues allant bien au-delà du sujet lui-même.

Par exemple, pour deux jours de tournage à l’année, ce “crédit temps” de 16 heures de tournage sera consacré au tournage de tout ce qui aura du sens à être mis en image. Ainsi, cette masse de contenus permettra la multiplication des rendus. La limite est fixée par la réserve suivante : chacun des plans ne sert que dans un film.

De cette façon, les charges que constituent la répétition des déplacements, des personnels, des matériels est transformé en un actif de montage au bénéfice du client.

Echangez avec un professionnel et imaginez avec lui votre capacité de tournage.

Stéphane Hérès
+33.659.774.790
contact@lettertomemphis.com