Toute l’actualité Lyon Entreprises

4ème édition du salon VivaTech du 16 au 18 mai prochain : un accélérateur de croissance pour les start-ups sélectionnées

La 4ème édition du salon mondial VivaTech consacré aux nouvelles technologies se tiendra à Paris, du 16 au 18 mai prochain. Le thème de cette année est l’entreprise du futur. L’occasion de découvrir en images 4 des 17 start-ups sélectionnées par la Région pour cet événement. 

Le salon mondial VivaTech comme moteur d’accélération pour les start-ups

La 4ème édition du salon mondial VivaTech organisé par les groupes Les Echos et Publicis se tiendra du 16 au 18 mai prochain à Paris.

Ce salon consacré aux nouvelles technologies a pour visée principale de favoriser les rencontres et les potentielles synergies entre les entreprises et les start-ups. Ces dernières arrivent au salon avec une innovation et ressentent bien souvent le besoin de solliciter des entreprises et des investisseurs afin de réaliser une levée de fonds, étape indispensable à leur croissance.

Pour la première fois depuis la création du salon, le Dôme de Paris accueillera des conférences tenues par des leaders de la tech mondiale comme Bernard Arnault du groupe LVMH ou encore Young Sohn, le président de Samsung.

Les organisateurs espèrent dépasser la fréquentation de l’année dernière où 9000 start-ups et 100 000 personnes s’étaient rassemblées. 

Après le focus réalisé sur les start-ups africaines lors de l’édition de l’année dernière où Emmanuel Macron avait accueilli le Président rwandais Paul Kagame, c’est le thème de « l’entreprise du futur » qui sera cette année mis à l’honneur.

Cette thématique fait bien sur penser au congrès lyonnais l’Entreprise du Futur, organisé le 11 janvier dernier.

Une usine de recherche et d’innovation présente au salon pour aider les entreprises à transformer leur appareil de production

Juliette Jarry, Vice-Présidente de la Région déléguée au Numérique, évoque l’opportunité que représente ce salon pour les 17 start-ups régionales sélectionnées.

« A l’intérieur du salon se trouvera une usine de recherche et d’innovation sur l’industrie du futur. Ce lieu, spécialement conçu pour les TPE, PME et ETI de notre région, disposera d’équipements mutualisés. Cela permettra à un dirigeant de venir avec ses salariés afin de voir comment il peut transformer son appareil de production.

Le transformer peut se révéler extrêmement coûteux et c’est justement l’une des grandes inquiétudes actuelles des dirigeants industriels. Le but de la Région est donc d’accompagner les entreprises dans l’ajout de briques numériques afin de réaliser le plus efficacement possible leur transformation numérique.

Pour les entreprises sélectionnées, le bénéfice de participer au salon VivaTech est clair : disposer d’une véritable visibilité par des grands groupes tant au niveau national qu’international.

Le CES de Las Vegas est un salon plus important que VivaTech en nombre de visiteurs mais les retombées pour les entreprises sans sans doute moins immédiates. Les entreprises sélectionnées pour le salon Vivatech verront sans doute des résultats plus rapides en terme de levées de fonds par exemple. »

Focus sur 4 des 17 start-ups régionales sélectionnées pour le salon VivaTech 2019 

Stéphane Renouard, Dirigeant, présente sa start-up AMBPR

La start-up AMBPR est spécialisée dans la robotique mobile autonome pour le décapage et la peinture des ouvrages de grande dimension.

Sébastien Gravier, Président, Présente sa start-up VULKAM

Cette start-up a mis au point des métaux amorphes permettant de créer des pièces 5 fois plus petites et 5 fois plus précises que les métaux traditionnels.

Darcy Boungou-Tsoumou, Directeur Général, présente sa start-up DI-ANALYSE SIGNAL

Di-Analyse Signal est une start-up d’ingénierie et d’études techniques spécialisée dans la surveillance des équipements industriels.

 

Simon Viénot, Président, présente sa start-up JYSE

La start-up Jyse est éditrice de logiciels. Elle propose une plate-forme 0 code pour créer des tableaux de bord personnalisés et des applications web sans avoir besoin de coder pour superviser des équipements industriels comme des automates ou encore des capteurs connectés.