Hausse des tarifs municipaux à Lyon : Renaissance critique les décisions estivales
Des mesures contestées en plein été
Alors que l’été approche, plusieurs décisions prises par la municipalité de Lyon suscitent des réactions. La fin de la gratuité du stationnement en août et la hausse des tarifs dans les piscines municipales sont pointées du doigt par l’opposition. Pour le mouvement Renaissance, ces mesures frappent de plein fouet les habitants les plus modestes qui ne quittent pas la ville pendant l’été.
Une politique municipale jugée injuste
La gratuité du stationnement au mois d’août constituait jusqu’ici un soutien apprécié dans de nombreux quartiers de Lyon. Sa suppression, combinée à l’augmentation du prix des piscines municipales, est perçue comme un recul social. « Quand les températures grimpent, les piscines municipales devraient être un refuge accessible à toutes et tous, pas un luxe », déplore le communiqué.
La réaction de Thomas Rudigoz
Thomas Rudigoz, pilote Renaissance pour les élections municipales, critique fermement la ligne politique de la majorité écologiste menée par Grégory Doucet : « Augmenter les tarifs des piscines et supprimer la gratuité du stationnement, c’est pénaliser les familles les plus modestes. Ce n’est ni juste, ni social, ni écologique. »
Une autre vision portée par Renaissance
Face à ces orientations, Renaissance défend une ville plus équitable : « À Lyon avec Renaissance, nous défendons une ville juste, solidaire et accessible. Une ville qui n’oublie personne, surtout pas celles et ceux pour qui l’été est souvent synonyme de sacrifices. »
Un débat qui traverse les enjeux sociaux et écologiques
Ces prises de position mettent en lumière les tensions entre impératifs sociaux et politiques écologiques dans la gestion municipale. Dans un contexte estival souvent difficile pour les familles les plus fragiles, la question de l’accès aux services publics devient un enjeu politique majeur à Lyon.